Zone érogène

Personne ne peut aimer une femme et écrire un roman simultanément. «Zone Érogène assène à ses lecteurs une mitraille de swings et d’uppercuts qui les frappent en plein visage ou au creux de la poitrine. Jamais un coup bas ; du noble art. Et nous rions de son humour ravageur, pauvres niais, pour nous apercevoir, trop tard, qu’il vient de nous déchirer, renversant de son rire, de sa fraîcheur acide et de ses phrases ailées les lourdes barricades que nous avions édifiées entre nous et la morsure de la vie.» Pierre Lepape, Les Nouvelles Littéraires, Mars 1984