« Héritière d'Orwell, l'auteure argentine déploie une écriture aussi picturale que glaçante. Dans un monde de plus en plus déshumanisé, elle nous pousse à une réflexion vertigineuse sur la violence, l'amour, le pouvoir.»
              
                    Kerenn Elkaïm - LIVRES HEBDO
                                      
                « Une fiction qui ne s’enferme dans aucun genre littéraire et dresse un portrait sans concession de notre société de consommation.»
              
                    LES INROCKUPTIBLES
                                      
                « Ce livre soulève beaucoup de questions, une réflexion très intéressante à l’heure où les mouvements vegan, antispécistes se développent.»
              
                    LA VOIX DU NORD
                                      
                « Habile couturière, Agustina [Bazterrica] déroule son fil et coud les mots pour nous amener là où elle veut et bousculer notre sensibilité à travers une chute qui a tout d’un twist final.»
              
                    MAZE
                                      
                « Fable politique, dénonciation par l’absurde du sort que nos sociétés humaines réservent aux animaux et histoire d’amour hors norme, Cadavre exquis est un roman à l’écriture clinique, qui nous happe et ne nous lâche plus.»
              
                    TÉLÉRAMA
                                      
                « La force hypnotique du récit tient en ce qu’Agustina Bazterrica, prodige argentin d’une quarantaine d’années (…), opère sans insistance perverse un constant va-et-vient entre le sort de l’animal de boucherie et l’homme de demain, à son tour matière première, sensible objet de toutes les convoitises.»
              
                    L’OBS
                                      
                « À partir d’une crainte future (la surpopulation et la pénurie de viande), Bazterrica compose un premier roman épatant sur la plasticité de nos valeurs morales, et sur ce qu’Hannah Arendt a appelé la « banalité du mal ».»
              
                    LIRE
                                      
                « Avec un art parfaitement maitrisé de l’ironie, Agustina Bazterrica dresse à son tour le portrait effarant d’une humanité prête à tout pour satisfaire son égoïsme, au mépris d’elle-même.»
              
                    LE MONDE DES LIVRES
                                      
                « Ce roman argentin, prix Clarin en 2017, tranche dans le vif. Agustina Bazterrica  parvient à rendre ordinaire une cruauté sans nom.»
              
                    LE CANARD ENCHAINÉ
                                      
                « Par le biais du cannibalisme, (…) l’auteure argentine nous sensibilise à la maltraitance subie par les animaux en nous permettant de nous projeter dans leur situation. Radical.»
              
                    FEMME ACTUELLE
                                      
                « Agustina Bazterrica invente un monde glaçant où, faute d'animaux, totalement disparus, il ne resterait plus que l'anthropophagie dûment planifiée.»
              
                    L'HUMANITÉ