Christine Angot – Le Voyage dans l’Est
« J’ai rencontré mon père dans un hôtel à Strasbourg, que je ne saurais pas situer. » En librairie le 18 août
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Thomas B. Reverdy – Climax
Avec Climax, Thomas B. Reverdy réveille le roman d’aventures en lui offrant une dimension crépusculaire et contemporaine, puisque désormais les glaciers fondent, les ours meurent et l’homme a irrémédiablement tout abîmé. Au moins, il reste la fiction pour raconter cette dernière aventure, celle de la fin d’un monde.
En librairie le 18 août Feuilletez un extrait.
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Timothée Stanculescu – L’Éblouissement des petites filles
Ce premier roman est un voyage dans l’intériorité fiévreuse d’une adolescente qui refuse d’être une fille sans histoires dans une campagne sans histoires. La précision et la sensualité de l’écriture de Timothée Stanculescu restituent au plus près la vérité d’un âge qui ne transige avec rien et nous rappelle avec quelle intensité, adolescents, nous rêvions et désirions.
En librairie le 18 août Feuilletez un extrait.
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Philippe Djian – Double Nelson
Un « double Nelson », c’est une prise de soumission qui consiste, dans un match de catch, à faire abandonner l’adversaire. Mais on peut aussi s’en servir dans une relation amoureuse…
En librairie le 25 août Feuilletez un extrait.
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Diana Filippova – L’amour et la violence
En déplaçant le curseur de ce qui est réel et ce qui ne l’est pas, empruntant les voies du roman social, de la dystopie et du récit d’apprentissage, Diana Filippova tend un miroir à une société d’une monstrueuse bienveillance. En suivant les pas de Valentin, on traverse ce monde où tout est permis, mais rien n’est possible. Pas même l’amour ?
En librairie le 25 août Feuilletez un extrait.
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Héléna Marienské – Presque toutes les femmes
Dans cette autobiographie traversée de passions et de détresses, Héléna Marienské raconte une vie passée à l’ombre des femmes, figures familiales ou rivales, autant que dans leur lumière, celle des femmes désirées ou follement aimées. Chacune à sa manière lui aura révélé celle qu’elle est : une femme libre, qui abrite résolument en elle plusieurs autres. Nous, peut-être ?
En librairie le 25 août Feuilletez un extrait.
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Benoît Coquil - Buenos Aires n’existe pas
Ce récit littéraire est une plongée dans la Buenos Aires effervescente de 1918 et raconte un « blanc » biographique, un hiatus dans la vie de Marcel Duchamp, où la fiction est appelée à la rescousse là où manquent les documents. Jusqu’à imaginer les rendez-vous manqués de l’artiste avec quelques-unes des plus grandes figures argentines de l’époque, dont Jorge Luis Borges.
En librairie le 25 août Feuilletez un extrait.
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Marie Petitcuénot – Ce qui gronde
Ce qui gronde est l’histoire d’une libération, écrite dans une langue d’une redoutable justesse, qui prend les allures d’un manifeste plaidant pour une autre façon d’être mère, lucide et libre. Si la liberté s’apprend, peut-elle se transmettre ?
En librairie le 25 août Feuilletez un extrait.
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Akiz – Le Chien Traduit de l’allemand par Brice Germain
Le Chien est un prodige culinaire comme le monde de la gastronomie n’en a jamais vu. Lorsqu’il accède à l’Olympe des cuisines étoilées en entrant dans le restaurant de luxe El Cion, il prépare un cocktail hautement explosif qui menace tous les pouvoirs en place. Akiz raconte l’histoire d’un génie inoubliable qui catalyse la mégalomanie et les ambitions démesurées de notre époque.
En librairie le 25 août Feuilletez un extrait.
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Lee Durkee – Mississippi Driver Traduit de l’anglais (États-Unis) par Nicolas Richard
Chauffeur de taxi dans le Mississippi, Lou Bishoff a dû se résoudre à gagner sa vie en écoutant celle des passagers qui se succèdent dans sa vieille Lincoln. Un défilé burlesque de retraités accros aux opioïdes, de poivrots en goguette et racistes de tout poil. Au fil de cette folle journée aux côtés de Lou, Lee Durkee nous embarque dans une véritable odyssée au cœur de l’Amérique profonde, où la réalité pourrait bien dépasser la fiction.
En librairie le 25 août Feuilletez un extrait.
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Matthieu Mégevand – Tout ce qui est beau
De Mozart, on dit qu’il est divin. Mais l’homme se vivait-il ainsi ? Toute sa courte vie durant, de l’enfant prodige qu’il a été jusqu’à sa mort prématurée, Wolfgang Gottlieb Mozart, de son vrai nom, a confié à la musique tout ce qu’il avait à dire. Avec ce livre, Matthieu Mégevand réussit le tour de force de « capturer » Mozart en peu de pages, de nous le faire « entendre » en littérature, et de révéler ainsi son inextinguible quête de beauté.
En librairie le 15 septembre Feuilletez un extrait.
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