La Compagnie des zincs
La gouaille du petit peuple parisien élevée au rang des Beaux-Arts. Une citation de Queneau placée en exergue de ce livre donne le ron : « On se demande pourquoi, dans les cafés, les joueurs appellent si souvent le garçon Descartes. » Caradec a longuement écouté et retranscrit les bons mots, engueulades, moqueries et traits d’esprit fusant d’un côté à l’autre des comptoirs qu’il a toujours fréquentés. Il exhume dans ce court livre tout un monde loufoque, souvent absurde, toujours hilarant, dont on est d’ailleurs pas très sûr qu’il existe encore. De l’exaspération d’une prostituée devant la lenteur d’un de ses clients grabataire aux vastes considérations sur les perroquets ventriloques, en passant par de graves méditations sur l’eau minérale. La Compagnie des zincs fait partie de ces très rares livres qui parviennent à faire pleurer de rire leur lecteur. « N’y a plus de pastis. – N’y a plus de pastis ? – Non. Les livreurs sont en grève. – En grève ? ... Qu’est-ce qu’on va boire, alors ? – T’as qu’à boire l’eau du pastis : c’est gratuit! – Ca va pas ? Tu me vois boire six verres d’eau à l’apéritif ? »
- Climats - Romans
- Paru le 02/01/2006
- Genre : Littérature française
- 144 pages - 105 x 195 mm
- Broché
- EAN : 9782841581603
- ISBN : 9782841581603
11,70€
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