Le syndrome de l'Orangerie

En se rendant au musée de l’Orangerie, voici que, devant Les Nymphéas de Monet, l’auteur est pris d’une crise d’angoisse. Contre toute attente, les Grands Panneaux déclenchent chez lui un vrai malaise. Sans doute l’art doit-il autant à l’artiste qu’au « regardeur » – mais encore ? Redevenant pour l’occasion le détective Bmore,Grégoire Bouillier décide d’en avoir le cœur net. Les Nymphéas de Monet cacheraient-ils un sombre secret ? Monet y aurait-il enterré quelque chose ou même quelqu’un ? Et pourquoi des nymphéas, d’abord ? Pourquoi Monet peignit-il les fleurs de son jardin jusqu’à l’obsession – au bas mot quatre cents fois pendant trente ans ? Obsession pour obsession, commence alors une folle enquête qui, entre botanique, vie amoureuse de Monet et inconscient de l’œuvre, mènera Bmore de l’Orangerie à Giverny en passant par le Japon et même par Auschwitz-Birkenau, pour tenter d’élucider son « syndrome de l’Orangerie ». Lequel concerne plus de monde qu’on l’imagine. Lequel dit qu’entre l’œil qui voit et la chose qui est vue, il y a un mystère qui n’est pas seulement celui de la peinture.
  • 432 pages - 148 x 220 mm
  • Broché
  • EAN : 9782080445742
  • ISBN : 9782080445742

Autour du livre

Découvrez la présentation du roman Le syndrome de l’Orangerie par Grégoire Bouillier.

On en parle...

« L'humour de Bouillier, son goût du jeu et des acrobaties verbales. »
TRANSFUGE
« Qualité et quantité, le maître d'oeuvre ne lésine pas sur les efforts et en partage le meilleur avec nous. »
LE SOIR MAGAZINE
« Revendiquant l'étonnement permanent, il adopte ici une démarche qui apparaît comme un modèle d'hygiène intellectuelle et mentale. »
LE MONDE
« Une enquête qui ne se limite pas aux mystères de la peinture. »
LA CROIX
« Singulier et passionnant. »
LE PARISIEN
« plus intime, plus sensible »
LE PARISIEN
« Une réflexion drôle et stimulante sur l’art, ce qu'on y met et ce qu'on y voit. »
DERNIÈRES NOUVELLES D'ALSACE
« Un dédale vertigineux qui [...] pose une question passionnante : quelles forces s'éveillent en nous quand on regarde une peinture ? »
LE PARISIEN
« C’est passionnant, c’est drôle, c’est profond. »
LA VOIX EST LIVRE

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