Nouveauté L'Étendard sanglant est levé

L'Étendard sanglant est levé

Janvier 1980. Alors que la France s’enfonce dans la crise économique, les services de police sont déterminés à mettre un visage sur ceux qui importent le terrorisme révolutionnaire dans le pays.
Infiltré auprès d’Action directe, le brigadier Jean-Louis Gourvennec approche un marchand d’armes formé par les services libyens qui affole Beauvau et répond au surnom de Geronimo. Jacquie Lienard, son officier traitant aux RG, tout comme Marco Paolini, un jeune flic tourmenté de la BRI, sont prêts à tout pour localiser et identifier le trafiquant. Les deux inspecteurs concurrents vont rapidement faire face à Robert Vauthier, un mercenaire reconverti en proxénète qui enflamme les nuits de la jet-set parisienne et s’apprête à prendre le chemin du Tchad pour traquer Geronimo. La campagne présidentielle et le retour de Carlos sur le devant de la scène vont plonger ces quatre personnages dans un déchaînement de coups bas, de corruption et de violence dont personne ne sortira indemne.
Le deuxième tome d’une saga historique entre satire politique, roman noir et tragédie mondaine, dont les personnages secondaires ont pour nom Valéry Giscard d’Estaing, François Mitterrand, Charles Pasqua, Tany Zampa, François de Grossouvre, Carlos ou Gaston Defferre.
  • 914 pages - 151 x 240 mm
  • Broché sous jaquette
  • EAN : 9782080470768
  • ISBN : 9782080470768

Autour du livre

On en parle...

« On le sait depuis sa première trilogie, Echos des années grises, Benjamin Dierstein est le maître du roman noir furieux mâtiné de western urbain haletant. »
PLEINE VIE
« 912 pages qui se dévorent d’une traite, tant cette saga historique et policière des années Giscard nous colle au plafond. C’est toujours aussi addictif au possible et on se régale comme jamais de ce name dropping hallucinant. »
TMV
« Il ne faut pas comparer l’auteur à James Ellroy. Le Breton a dépassé le maître. Plus incisif. Plus efficace. »
LE POPULAIRE
« Même impression qu’au premier tome : on aimerait qu’il fasse plus de mille pages. »
LA MONTAGNE
« C’est un feu d’artifice qui éclate page après page. »
LE CANARD ENCHAINE
« Le premier tome était gigantesque, furieux, addictif. Celui-là l’est plus encore. Plus de 900 pages d’une plongée sans retenue et sans matériel de survie dans les entrailles de la police, des ors de la République et des coups fourrés de la Françafrique. »
LIRE MAGAZINE LITTERAIRE
« Deuxième tome de la trilogie « Bleus Blancs Rouges », « L’Etendard sanglant est levé » confirme le talent d’un écrivain qui n’a pas froid aux yeux. »
VSD
« Une fresque furieuse et hyper documentée, située à la fin des années 70, où le western urbain le dispute à l’épopée politique. »
PREMIERE
« Un polar qui se dévore (malgré ses 900 pages) comme un fruit défendu aux mille saveurs. »
LES ECHOS
« Après le tome I Bleus, blancs, rouges, Benjamin Dierstein poursuit sa trilogie richement documentée à un rythme d’enfer, mêlant faits réels et fiction, politique, people, mercenaires ou barbouzeries du Sac […] Vivement le tome III ! »
OUEST FRANCE
« Un second tome qui tient toutes les promesses entrevues dans le premier. Un roman où le rythme ne faiblit jamais, où la tension est permanente. Bref, du polar de haute volée ! »
BENZINE MAG
« [Un] polar bouillonnant et captivant, véritable plongée dans les années1980. Vivement le tome III ! »
OUEST FRANCE
« 900 pages addictives »
DNA -DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE
« Toujours aussi foisonnant avec près de 900 pages, […] cette œuvre s’apparente à un document littéraire passionnant sur les dessous d’une République pas toujours exemplaire. »
HUMANITE
« Lecture faite, on en ressort épuisé, abasourdi, sonné. Et surtout sans plus aucune illusion sur ces années sombres. »
LE POINT
« Entre James Ellroy, pour l’incarnation des dérives intimes, et Don Winslow, pour l’intensité du tempo, Benjamin Dierstein distille un concentré de polar politique à la saveur inégalée. »
LA CROIX
« Avec L’étendard sanglant est levé, deuxième opus de sa trilogie nerveuse, Benjamin Dierstein signe un polar historique urgent et révolté. »
LES ECHOS WEEK-END
« Les phrases sont courtes, elles tombent par saccades, sèches, sans fioriture. L’auteur travaille une langue relâchée, nerveuse et charnelle mais c’est le rythme qui frappe en premier : la cadence, la pulsation sont superbement maîtrisées. »
LE 5/7, FRANCE INTER
« Résultat [de ce deuxième tome] : les qualités de contour s’affirment, le travail documentaire fait foi, l’agencement du récit impressionne, l’écriture s’impose. »
OUEST FRANCE
« Après un premier volet époustouflant […], Benjamin Dierstein poursuit sa formidable fresque historique avec un deuxième tome tout aussi échevelé. »
ROLLING STONE

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