Il aura fallu à Auxeméry un long détour en Afrique - où il passe l'essentiel des années 1970 - pour se résoudre à la fatalité du travail poétique. Au cours de ce séjour africain la découverte de cette méthode propre à l'oubli de soi qu'est la traduction va le remettre sur des pistes qu'il pensait avoir désertées. Le mouvement ira dès lors en s'amplifiant, selon deux axes s'avérant étroitement liés : l'écriture de son œuvre propre s'avérant indissociable du travail de traducteur mené en parallèle.
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