Les Paradis artificiels

    • Édition de : Aurélia Cervoni, Andrea Schellino
« Qu’est-ce qu’un paradis qu’on achète au prix de son salut éternel ? »

Dans Les Paradis artificiels (1860), qui se composent de deux volets, Le Poème du haschisch et Un mangeur d’opium, Baudelaire philosophe sur les effets du haschisch et traduit, en les éclairant d’une lueur tragique, les Confessions d’un mangeur d’opium anglais de Thomas De Quincey, publiées quarante ans plus tôt. Comme dans son œuvre poétique, l’auteur des Fleurs du Mal y explore le « goût de l’infini » qui pousse constamment l’homme à la recherche de l’idéal. Objet hybride, qui tient à la fois de la traduction, de l’essai, du conte et du poème, Les Paradis artificiels sont une méditation sur la volonté et l’imagination, sur les sombres tentations qui déchirent l’âme humaine, et par-dessus tout sur la puissance rédemptrice de l’art.

Dossier
1. L’opium et le haschisch dans la littérature romantique
2. Les Paradis artificiels et leurs lecteurs.
  • GF (n° 1627) - Poésie
  • Paru le 20/01/2021
  • Genre : Poésie
  • 320 pages - 109 x 177 mm
  • Poche - Format poche
  • EAN : 9782081495784
  • ISBN : 9782081495784

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